Jour d’évacuation. 58 ans après que la Tunisie a recouvré sa pleine souveraineté
Aujourd’hui marque le 58e anniversaire de la Journée d’évacuation et de la bataille intemporelle de Bizerte, l’un des grands championnats du peuple tunisien.
Une bataille qui a révélé au monde l’horreur de la Français machine coloniale, dans laquelle les significations du pouvoir, de la libération, de la virilité, de la fermeté, de la liberté, du patriotisme et d’autres significations d’épopées ont été incarnées, la mémoire de l’évacuation, avec laquelle la souveraineté des peuples victorieux sur la machine militaire a été confirmée.
La bataille pour l’évacuation a effectivement commencé le 8 février 1958, après l’agression Français contre le village de Sakia Sidi Youssef, à la frontière tuniso-algérienne, qui a visé un certain nombre d’institutions locales et a entraîné la chute de dizaines de martyrs algériens et tunisiens.
Le 17 juillet de la même année, la Tunisie décide d’évacuer les restes des armées Français de la base de Bizerte par des moyens diplomatiques, mais la situation revient à la crise en juillet 1961.
Le quatrième du même mois, le bureau politique du Parti constitutionnel libre au pouvoir a appelé à une bataille pour l’évacuation, et deux jours plus tard, le président Habib Bourguiba a envoyé un envoyé spécial au Français président Charles de Gaulle, portant une lettre l’appelant à négocier sérieusement.
Le 23 juillet, un cessez-le-feu a été déclaré pour laisser l’occasion de négociations qui se sont terminées par l’annonce par la France de l’évacuation de ses troupes de Bizerte et de l’évacuation de la base navale. Le 15 octobre 1963, Français amiral Fiviai Minad a quitté la ville pour annoncer la fin de la phase coloniale Français de 82 ans de la Tunisie qui a commencé le 12 mai 1881.